
- Date de parution : 17/09/2020
- Collection : Roman Ado
- Format : Grand format
Et s’il existait, comme pour les étoiles, des constellations invisibles à l’œil nu unissant les humains ?
Titouan ne sort plus de sa chambre.
Alix rêve de théâtre.
Luce reste inconsolable depuis la mort de son mari.
Gabrielle tient trop à sa liberté pour s’attacher.
Armand a construit sa vie entière autour de sa fille.
Cinq personnages, cinq solitudes que tout sépare. Il suffira pourtant d’un numéro inconnu s’affichant sur un téléphone pour que leurs existences s’entrelacent…
« Hasard, destin, alignement de planètes… Appelez ça comme vous voulez, moi j’appelle ça magie. »
Justesse psychologique, vérité des situations : un roman choral brillant et lumineux sur les liens invisibles qui unissent les êtres.
J’ai dévoré ce roman, le premier que je lis de Manon Fargetton. Il est addictif, facile à lire et sans longueurs. Les chapitres sont très courts (5 pages au maximum) et chaque chapitre concerne un personnage différent.
Ce livre est très émouvant. Durant toute l’histoire on réfléchit, et notre réflexion avance avec celle des personnages.
On sent l’apport de la vie de l’auteure dans le roman : son expérience de régisseuse, ses racines bretonnes (oui j’ai eu faim pendant la moitié du roman, merci Bob).
L’autrice aborde des thèmes importants, et parfois durs à aborder (dans la littérature ou dans la vraie vie). Par exemple, la santé mentale (la bipolarité, la dépression, l’anxiété), l’isolement (existant chez les personnes de tout âge, comme le démontrent les personnages de Titouan et Luce), l’homosexualité et la peur du jugement, le besoin de rentrer dans le moule, le réchauffement climatique et l’implication des jeunes pour cette cause. Beaucoup d’autres thèmes sont abordés mais la liste est plus grande que mon avenir, donc je ne peux pas la dresser en intégralité.